La ville de Quito est tout simplement magnifique.
Aujourdhui pour notre journee libre on na ete une vingtaine a prendre le telepheriQo pour monter a pas moins de 4000 m daltitude. Puis un peu difficilement, armés de notre bouteille deau on est monter jusqua 4300m (et meme 4680 pour les plus courageux). Gens du sud vous auriez du voir la vue!!!!! Les montages, les ravins, les chevaux, les montagnes encore, Quito tout en bas de nous, les nuages, le soleil! Bref, le plus beau paysage que jai jamais vue de ma vie (meme si jai pas tant voyagé, je suis certaine quil ny a pas grand paysage ailleurs dans le monde qui accotaient ca).
Demain cest lheure du grand depart pour les mini stages. Certains dentre nous iront a Chuchillang, dautres a pullinguy (jespere ne pas avoir trop deformée ces deux mots par mes fautes dorthographe). Jai vraiment tres hate de vivre ces quelques jours et de decouvrir une nouveau coter de léquateur!!
Laurence C.
samedi 23 mai 2009
Quito, 24 mai
Quelques images de Quito...
Les braves dans une camionnette
Petite place devant notre hotel
Et notre hotel...
J envoie d autres images plus tard...
Evo
Les braves dans une camionnette
Petite place devant notre hotel
Et notre hotel...J envoie d autres images plus tard...
Evo
¿America? ¡Fuck yeah!
Ok entonces somos gringos por verdad, especialmente aqui con todos los pobres.
Les garda checkent toutes les magasins avec leur detecteur de metal - yen a qui veulent arrondir leur fin de mois et font des calls pour etre paye comme vendeur en plus.
Les enfants vendent des bonbons aux gringos qui (parfois) cedent sous la pression parce quils sont trop mignons et font trop pitie.
Les humains sont adaptes au climat. La loi de levolution sait se faire respecter.
Les morts vivent mieux que les vivants. Drole a dire, mais cest vrai.
On voit des chiens qui meurent et on se sent mal, ensuire on arrive a penser que les humains dici vivent moins bien que les chiens chez nous. Cest un peu moins drole a dire.
Bon, cetait une apparition rapide, jai fini. :)
Mon temps au cafe internet est ecoule, hasta luego.
Le vengeur masque
Les garda checkent toutes les magasins avec leur detecteur de metal - yen a qui veulent arrondir leur fin de mois et font des calls pour etre paye comme vendeur en plus.
Les enfants vendent des bonbons aux gringos qui (parfois) cedent sous la pression parce quils sont trop mignons et font trop pitie.
Les humains sont adaptes au climat. La loi de levolution sait se faire respecter.
Les morts vivent mieux que les vivants. Drole a dire, mais cest vrai.
On voit des chiens qui meurent et on se sent mal, ensuire on arrive a penser que les humains dici vivent moins bien que les chiens chez nous. Cest un peu moins drole a dire.
Bon, cetait une apparition rapide, jai fini. :)
Mon temps au cafe internet est ecoule, hasta luego.
Le vengeur masque
Un marathon à Quito...
Notre première journée à Quito a pris la forme d'un marathon! Alors que nous avions conseillé aux étudiants de se préparer au "rythme latin" (un rythme lent, calme, dans lequel le temps et la ponctualité sont des concepts bien relatifs), c'est au contraire une journée bien fatiguante où chaque minute comptait que nous leur avons servie.
Un petit aperçu:
Comment faire pour transporter 26 personnes? En Equateur tout est possible!!
Visite au musée Guyasamin. Oswaldo Guyasamin est un des peintres les plus importants de l'histoire de l'Amérique latine. Extrêmement sensible à la misère et aux inégalités, son oeuvre est empreinte de souffrance.
Aujourd'hui c'est une journée libre. Ouf! On va pouvoir se reposer! Mais demain on part déjà pour le "mini-stage", bien haut perché dans les montagnes.
Guillaume
Les trois mujeres de Quito!
HOLA TODOS!
Quito cest beau, chaud (pas autant que Guayaquil) et bruyant et on aime sa !!!Les montagnes qui nous entourent sont magnifiques on ne sen lasse pas. ça fait seulement 2 jours, et on a deja spotté les bons endroits ou manger. Marie math, raph et ari , on sest trouvées un resto super sympa et on a bien jasé avec les locaux. On a vu la ville de haut , au panecillo et aujourdhui on ira voir la ville encore de haut avec la teleferiquo. Pour aller au Panecillo, les 24 eleves on est monter dans la boite dune camionnette tous debout !! ça allait tres lentement vu le poids et les cotes tres tres apiques... !!!
Bref du gros fun en canne. On a hate de voir nos compatriotes du sud. On vous aimes. Ari, MM et Rapha. xxxxxxx
Quito cest beau, chaud (pas autant que Guayaquil) et bruyant et on aime sa !!!Les montagnes qui nous entourent sont magnifiques on ne sen lasse pas. ça fait seulement 2 jours, et on a deja spotté les bons endroits ou manger. Marie math, raph et ari , on sest trouvées un resto super sympa et on a bien jasé avec les locaux. On a vu la ville de haut , au panecillo et aujourdhui on ira voir la ville encore de haut avec la teleferiquo. Pour aller au Panecillo, les 24 eleves on est monter dans la boite dune camionnette tous debout !! ça allait tres lentement vu le poids et les cotes tres tres apiques... !!!
Bref du gros fun en canne. On a hate de voir nos compatriotes du sud. On vous aimes. Ari, MM et Rapha. xxxxxxx
¡Holà a todos!
Guayaquil, Guayaquil, Guayaquil mais que dire de Guayaquil? Ville pleine de contraste ou lon peut passer du bidonville à une rue similaire a celles de Miami. Florence dirait: Guayaquil est omniprésente et omnipotente, Guayaquil est tout et est partout. Annick quant-à-elle dirait surement je sais pas quoi penser. Personellement, trop de réflexions me viennent en tête pour pouvoir toutes les écrires. Avant de partir j;aurais dit que lÉquateur évoquait pour moi une explosion sensorielle (sans mauvais jeux de mots) Maintenant, je ne sais plus. Il est très étrange de se sentir exactement au bon endroit au bon moment, sans pour autant y etre a sa place. Enfin, le temps est bon, le ciel est bleu, il ny a nuls raisons de se plaindre et un match de soccer nous attend!
Veronica
p.s: Groupe du nord ecrivez-nous, je veux des nouvelles
Guayaquil, Guayaquil, Guayaquil mais que dire de Guayaquil? Ville pleine de contraste ou lon peut passer du bidonville à une rue similaire a celles de Miami. Florence dirait: Guayaquil est omniprésente et omnipotente, Guayaquil est tout et est partout. Annick quant-à-elle dirait surement je sais pas quoi penser. Personellement, trop de réflexions me viennent en tête pour pouvoir toutes les écrires. Avant de partir j;aurais dit que lÉquateur évoquait pour moi une explosion sensorielle (sans mauvais jeux de mots) Maintenant, je ne sais plus. Il est très étrange de se sentir exactement au bon endroit au bon moment, sans pour autant y etre a sa place. Enfin, le temps est bon, le ciel est bleu, il ny a nuls raisons de se plaindre et un match de soccer nous attend!
Veronica
p.s: Groupe du nord ecrivez-nous, je veux des nouvelles
Petit briefing
Alors voici, en grande primeur, un petit briefing des gens du nord depuis deux jour.
Départ jeudi le 21 mai, a quelques quatres heures du matin. C'etait tot ou c'etait tard, tout dépendemment si avait dormi ou non. L'ambiance etait un peu endormie a l'aeroport, mais on a tout de meme eu droit a un beau lever de soleil depuis le hublot de l'avion.
Quelques petites heures de vol et on arrive a Miami, rien de moins. Avant d'atterir, on avait une vue sur une sorte de tres, tres grand marecage. Les Everglades, peut-etre.. Mais la premiere chose qui nous frappe, c'est l'humidite. L'interieur et l'exterieur de l'aeroport, c'est le jour et la nuit. On en a profite pour faire un tour a la plage. Oui, la plage de Miami. Il faisait beau, chaud, il ventait, les monsieurs et madames en petite tenue, brules par le soleil et gonfles de partout se promenaient. Mais on n'est reste que le temps de deux ou trois coups de soleil, juste le temps de revenir a l'aeroport, de manger, de s'ennuyer un peu, de flaner, de jouer aux cartes et d'embarquer dans l'avion.
Puis, un autre vol de quelques heures ou le sommeil venait un peu plus facilement cette fois. Le soleil, ca tape. Quelques minutes avant l'atterrissage a Quito, les hublots se sont reouverts pour qu'on puisse profiter d'une autre vue que d'un tapis de ouate. Mais quelle vue ! Les sommets enneiges, la tete a moitie dans les nuages, croisaient les hautes montagnes, vertes et deboisees, ou l'on distinguait des traces d'agriculture, ou les rivieres descendaient le long des vallons. et ou les petits villages venait se caser comme ils pouvaient dans tout ca. La ville de Quito etait situee dans une sorte de vallee, emprisonnee par les hautes montagnes, et le coucher du soleil incitait la ville a s'illuminer, prete a affronter la noiceur et a commencer sa nuit.
Bref, c'etait pas mal beau.
(suite plus tard)
Etienne G
Départ jeudi le 21 mai, a quelques quatres heures du matin. C'etait tot ou c'etait tard, tout dépendemment si avait dormi ou non. L'ambiance etait un peu endormie a l'aeroport, mais on a tout de meme eu droit a un beau lever de soleil depuis le hublot de l'avion.
Quelques petites heures de vol et on arrive a Miami, rien de moins. Avant d'atterir, on avait une vue sur une sorte de tres, tres grand marecage. Les Everglades, peut-etre.. Mais la premiere chose qui nous frappe, c'est l'humidite. L'interieur et l'exterieur de l'aeroport, c'est le jour et la nuit. On en a profite pour faire un tour a la plage. Oui, la plage de Miami. Il faisait beau, chaud, il ventait, les monsieurs et madames en petite tenue, brules par le soleil et gonfles de partout se promenaient. Mais on n'est reste que le temps de deux ou trois coups de soleil, juste le temps de revenir a l'aeroport, de manger, de s'ennuyer un peu, de flaner, de jouer aux cartes et d'embarquer dans l'avion.
Puis, un autre vol de quelques heures ou le sommeil venait un peu plus facilement cette fois. Le soleil, ca tape. Quelques minutes avant l'atterrissage a Quito, les hublots se sont reouverts pour qu'on puisse profiter d'une autre vue que d'un tapis de ouate. Mais quelle vue ! Les sommets enneiges, la tete a moitie dans les nuages, croisaient les hautes montagnes, vertes et deboisees, ou l'on distinguait des traces d'agriculture, ou les rivieres descendaient le long des vallons. et ou les petits villages venait se caser comme ils pouvaient dans tout ca. La ville de Quito etait situee dans une sorte de vallee, emprisonnee par les hautes montagnes, et le coucher du soleil incitait la ville a s'illuminer, prete a affronter la noiceur et a commencer sa nuit.
Bref, c'etait pas mal beau.
(suite plus tard)
Etienne G
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