Petit briefing

Alors voici, en grande primeur, un petit briefing des gens du nord depuis deux jour.

Départ jeudi le 21 mai, a quelques quatres heures du matin. C'etait tot ou c'etait tard, tout dépendemment si avait dormi ou non. L'ambiance etait un peu endormie a l'aeroport, mais on a tout de meme eu droit a un beau lever de soleil depuis le hublot de l'avion.

Quelques petites heures de vol et on arrive a Miami, rien de moins. Avant d'atterir, on avait une vue sur une sorte de tres, tres grand marecage. Les Everglades, peut-etre.. Mais la premiere chose qui nous frappe, c'est l'humidite. L'interieur et l'exterieur de l'aeroport, c'est le jour et la nuit. On en a profite pour faire un tour a la plage. Oui, la plage de Miami. Il faisait beau, chaud, il ventait, les monsieurs et madames en petite tenue, brules par le soleil et gonfles de partout se promenaient. Mais on n'est reste que le temps de deux ou trois coups de soleil, juste le temps de revenir a l'aeroport, de manger, de s'ennuyer un peu, de flaner, de jouer aux cartes et d'embarquer dans l'avion.

Puis, un autre vol de quelques heures ou le sommeil venait un peu plus facilement cette fois. Le soleil, ca tape. Quelques minutes avant l'atterrissage a Quito, les hublots se sont reouverts pour qu'on puisse profiter d'une autre vue que d'un tapis de ouate. Mais quelle vue ! Les sommets enneiges, la tete a moitie dans les nuages, croisaient les hautes montagnes, vertes et deboisees, ou l'on distinguait des traces d'agriculture, ou les rivieres descendaient le long des vallons. et ou les petits villages venait se caser comme ils pouvaient dans tout ca. La ville de Quito etait situee dans une sorte de vallee, emprisonnee par les hautes montagnes, et le coucher du soleil incitait la ville a s'illuminer, prete a affronter la noiceur et a commencer sa nuit.

Bref, c'etait pas mal beau.
(suite plus tard)

Etienne G