vendredi 29 mai 2009

¿Que tan lejos?

Cuenca c;est pas si loin finalement, jai contre mon gre, je ne peux m;empoecher de penser a Sebastian Wierny, haaa! Qui aucrai cru qu;il me suivre jusqu;ici!!!

La ville est belle et touristique. LE tourisme amene certaines choses agreable come les resto ou on trouve de la lasagne et des expresso..Mais aussi les pickpocket...ceux la on les aime moins! on a eu une petite victime et on doit etre plus vigilant. Sinon, jai bien hate de partir pour Catacocha pour partir vers la vrai aventure... meme en laissant derriere l;eau chaude de l;hotel Milan.

On a passe 4 merveileuses journes sur la cote. Pour ma part, on a ete dans le meilleur village possible: Libertador Bolivar! cest pas pour me vanter, mais florence vero et moi , on sest fait bercee par le son des vagues su pacifique toute les nuits dans notre cabane sur la plage ( oui oui, directemenet sur la plage) Les gens du village etaient tellement impliquest et agreable. Ca faisait du bien de ne pas se faire reluquer dans les rues mais plutot saluer amicaliement. On a planter des arbres dans une petite ecole, 12 au total dont 6 sont baptises a nos nom. La boufffe etait super bonne, malgre la friture au dejeune. Il nous on fait un pas mal belle fète a notre depart, de quoi faire brailer la madeleine que je suis. Je repense meme a retourner faire un tours dans ce paradis avant daller au Perou apres le stage. je le conseiulle meme tout le monde!

Malgre la realit- du nord, ici PERSONNE nest malade. Hasard ou on est plus tough? a ver a ver! mais jai quand meme tendance a dire que cest part du hasard pùisquon souffre quand meme un peu de l:Altitude aujourdhui...

ce soir on sort avant de se separer des genre de Saraguro, alors on va aller prendre une biere, jouer une petite game de loup garou et se preparer pour le prochain 8h de bus qui nous attend!

Marcelle

Cuenca JE tAIME... et cr·&/ssss quon est relax!

Bon bon bon, mise a jour de mon humble impression de cette noble odysee!
Guyaquil... sans commentaire particulier puisque cest un ville assez industrielle avec des hommes qui n ont que trop rarement vue la chaire pale! Ola MAMITA... Par contre, a souligner que le malecon etait tres beau, je vous pris, surtout avec les 444 marches qui rapellaitla cote Amalfitaine en Italie!!!

La cote et SAN PEDRO(ME quiero) une experience inoubliable et tres enrichissante, la chimie avec notre famille cest fait de facon merveilleuse, presque inesperer!! A 6 dans une chambre grande comme mon dessous de pied, on la vecu a la dure et dans la proximiter je vous pris! Sinon nous sommes tous d excellent artiste peintre.. jattent mon doctorat honorifique en art contemorain, ce qui nest pas peut dire!

Apres un long trajet de bus rendu bien interessant grace aux gravols.. nous avons atteint Cuenca... une sublime ville a 2600 pieds en montagnes qui vaut le detour.. larchitecture est dingue dingue dingue.. tout les ecclesiastique de ce monde devraient migrer ici! ON A LEAU CHAUDE A LHOTEL.... CELEBRATE GOOD TIME COME ON!!!!!!.. On ce fait un petit souper dadieu ce soir car demin on prend le bus pour catacocha.. on lont vas dropper les gens de SARAJEVO(hihi je fais ma nounoune comme sa mais je sais vrmt plus comment ecrire le vrai nom ) en passant.... Alors Catacocha NOUS VOILAAAA....

Jenny ( CACA CARRA JE TAIME)

Nous perdurons

Chers amis,

Après mes expériences à Chugchilan, je continuerai de documenter l'Équateur sur mon blogue personnel.

http://americalatina09.blogspot.com/
(ou voir la liste de liens à droite)

Chugchilan a certainnement été une sensibilisation aux échanges nord-sud par définition. Le reste est sur mon blogue.

Je souhaite aussi que mes amis du Sud vivent leur expérience pleinement.

Éclatez-vous

Eric

Chugchilán

En direct de Latacunga (où on est arrivés dans un truck avec le froid, le vent, et la bouette pour certains), voici un petit aperçu de ce magnifique pueblito qu´est Chugchilán! On a été tellement bien reçus, on a tellement bien mangé! Patricia et José, les propriétaires de l´hôtel, sont tout simplement géniaux (et les dames de l´hôtel se sont vraiment bien occupées de nous quand on a été malades!) Je le dis tout de suite, on a été "seulement" 3 à ètre malades, contrairement au groupe à Yves... On peut d´ailleurs constater à quel point le caca est un sujet populaire en voyage... Éric parlerait propablement du "momentum" du sujet du caca, ici...!

On a nettoyé les rues (et le ruisseau) du village, peint des poubelles qu´on est allés porter dans des écoles pour trier les déchets organiques/inorganiques, on a descendu le cratère de la lagune Quilotoa, avec son eau turquoise, et on l´a remonté à dos de cheval (ou à dos d´âne pas de selle dans mon cas, en longeant les ravins,ouff!!), on s´est un poquito perdus dans les nuages de la "forêt ennuagée", bref... c´était un mini-stage superbe! Un petit coin de paradis logé dans les montagnes (ok, un paradis froid et humide), c´était tellement beau qu;au début on trouvait que c ´était louche et que ça ressemblait à une secte...

Et puis demain on part pour les familles!

Miriam
Ah les montagnes, les marches en pleine air, les merveilleux voyages sur le toit d'un camion, la joie de faire une partie de soccer avec les Ecuatoriens...
Et bien moi...j'aurais tout manquer ca cause d´une saleté de bacterie...et plutot que de profiter de ces merveilleux moments, moi j'etais cloitrée dans mon lit...nous avons passé cing jours dans la charmante communaute de Chuchilan et moi tout ce que j'aurais vue ce sont les poubelles du et le dépotoir du village. Dans le font c'est peut-etre la que je chopé mon foutu virus...cela m´apprendra a suivre un jeune homme a l´arrierre de sa camionette en forme d'oiseau sans poser de questions....

Bref ne vous en faite pas je me porte bien maintenant j'ai finalement fait mon tour de camion...bon dans la boite pas sur le toit, mais c'est déja un début.

Alors voila mon conseil de la semaine...n'embarquer pas dans un camion en forme d'oiseau..déja juste le fait que ce soit en forme d'oiseau devrait vous mettre sur vos gardes...

Enfin bonne semaine a tous
Fredou

Barbe

Jecris ce message dans lespoir de pouvoir rejoindre Herve, Maxime, Eric, Joel, Luc, Etienne, Mike, Guillaume, Yves et J-F. Jaimerais, si votre physique vous le permet, vous voir le 17 juin a Quito avec ce que je nomme affectueusement un gasket. Pour les personnes qui ne suivait pas les cours de monsieurs Plano avec Herve et moi-meme, un gasket est un coupe de barbe decrivant un cercle autour de la bouche.

Merci de la cooperation de tous les barbus du groupe!
Marcos la moustache de lEquateur.
-xxx-

Bilan des survivants

Ecoutez bien ca, ca vaut la peine.

Alors voila: nous, groupe du nord, etions tous a Quito, a la plaza San Blas et devant notre hotel. Ayant termine notre sejour dans la capitale, on devait se separer pour commencer les mini-stages, des appercus du sejour dans nos familles. On avait deux choix : Pulingui, le Chimborazo et les cours d'anglais ou Chuchilan, la Laguna et la peinture.

Pendant que tout le monde se ruait vers Guillaume, accompagnateur du groupe de la Laguna, moi, mon cinquante sous m'envoya vers Evo et vers Pulingui.

On y est reste cinq jours et quatre dodos. Ce fut serieusement vraiment, vraiment bien. Et ca fait changement de la ville, mettons. Les matins, on allait a l'ecole pour "compartir", comme ils disaient, avec les eleves, leur apprenant un semblant d'anglais dans une ambiance completement bordelique. On est alle a l'ecole trois matinees, et ce fut -surtout la deuxieme fois- du gros, gros n'importe quoi. C'est d'ailleurs la qu'on a compris d'ou venait l'expression "p'tit morveux".

Mais il faut rien oter a ces gens. Ils sont pour la plupart o combien sympathiques et agreables. Ils donnent la main souvent, tout le temps et a tout le monde (notez que j'ai ecrit "donnent" et non "serrent") et meme si on comprend rarement ce qu'ils disent, ils gardent toujours le gros sourire etampe dans la face. En plus, bien qu'ils soient pas mal petits, ils avaient une grande force d'esprit et etaient tres polis.

On a repare une fosse sceptique, on a tourbé un terrain de foot, on a chante et danse avec eux, on a joue au volley, au foot, on a mange du cuy, de l'alpaca -on en a vu copuler aussi. Vous reviendrai me voir quand vous aurez vu des alpacas copuler-, on a tricote, file, fait un peu d'artisanat, on a bu, mange (en quoi, comment vous dites? du riz ?), on a rit, on a gele, on s'est promene dans les montagnes, monte dans le Chimborazo, et on a ete malades. Completement malades

Sur quatorze personnes, dix ont etees assez malades pour manquer des activites ou pour restituer leur repas, et une s'est blessee. Pas pire comme bilan, en? On se seraient cru dans un film d'horreur, un soir ou les gens tombaient malades les uns apres les autres. Who will be next ?

Pour ma part, si j'ai pas ete malade, la montee du Chimborazo m'a completement mis par terre. J'ai quand meme eu l'occasion d'aller frencher les neiges eternelles et d'echanger quelques balles de neige avec Rayche.

Et ils nous reste encore trois semaines !
man ..

Etienne G

De la vieja canadiense

Bonjour a tous,

Ici le premier message officiel de votre doyenne, celle qui fait de lartrite et de lemphyseme pulmonaire dans toutes les ascensions, mais qui sentiche a les faire quand meme. Je nai pas pris de canne pour monter le Chimborazo, mais le the de coca a grandement fait laffaire, cetait delicieusement buzzant (ou etait ce parce quon etait a plus de 5000 m daltitude *point dinterrogation*). Jai touche aux neiges eternelles en hallucinant un peu, jai ramene des roches multicolores du Chimborazo et mes mains ont survecues, quoiquelles etaient meles ( voix aigue fatigante que font mes mains : mais quest-ce quon fait, on gonfle, on blanchit, on retrecit, on se frippe - ouhouhouh- blop blop). Sinon, tout va bien, jadore etre grande parce que je ne remarque pas tous les equatoriens qui nous sifflent ou nous regardent, ils ne sont pas dans mon champ de vision. Jai ete super malade (grippe, mal de gorge, perte de voix, etroudissement, nausee, etc.) mais jai survecu et je suis maintenant revenue a la vie et top shape/A1. Pulingui etait superbe, ca nous a fait arriver au pays pour vrai et maintenant notre petite escale a Latacunga se prend bien. Cest un mini-Quito. Il y a un superbe marche avec toutes les parties du corps de tous les animaux inimaginables etendus sur des stands et des tables au soleil. Mais mon petit coeur de vegetarienne sest endurcit quand jai vu le lama vivant, puis charcute dans une chaudiere, hier a Palacio Real (communaute autochtone qui nous a servi le diner). Tout va bien maintenant, je mangerai bientot une vache vivante au canif (NOT). Je men tiens au quinoa et aux jus.

Je salue mes amis du Sud, je vous envoie tout lamour du monde ainsi quaux lecteurs fervents de ce blog (salut, maman!)

La vieja Vanessa (ou Vanessita, puisque tout semble plus vendeur lorsque cest petit ici)